
Atlantes

📌 Mots-clés
Tête éthérique ; clairvoyance ; conscience diurne ; inconscience nocturne ; aura ; être spirituel ; influences lucifériennes ; perception suprasensible ; perception sensible ; Soleil ; évolution humaine
🔹 Le lent passage pour l’homme de la perception suprasensible à la perception sensible
Les habitants de l’Atlantide vivaient dans un état de vague clairvoyance, due au fait que la partie éthérique de leur tête était encore dégagée de la partie physique. Cet état leur permettait de percevoir les êtres spirituels qui animaient leur environnement.
Cependant, à mesure que l’évolution humaine progressait, la vision du monde physique devint plus nette, tandis que la perception des réalités spirituelles s’obscurcissait. Ainsi, au milieu et même au dernier tiers de l’époque atlantéenne, l’homme, lorsqu’il se réveillait, percevait un monde enveloppé de brouillard, où chaque élément physique était entouré d’un halo coloré.
Il n’existait pas encore une séparation aussi nette entre la conscience diurne et l’inconscience nocturne, si bien que même pendant l’état de veille, l’Atlante conservait une perception diffuse des réalités spirituelles. Comme l’éthérique était plus étendu et ne se dégageait jamais totalement de l’astral, cette vision du monde lui apparaissait encore sous une forme fluide et lumineuse.
La clairvoyance antique nous apprend que l’homme de cette époque ne distinguait pas les objets extérieurs avec la netteté que nous leur connaissons aujourd’hui. Il percevait la nature sous un aspect diffus et auréolé, où chaque être minéral, végétal ou animal se parait d’un halo coloré, une « aura » qui traduisait la présence des êtres spirituels résidant dans ces formes physiques. Cette vision spirituelle était particulièrement lumineuse et claire lors du passage de l’état de veille à celui de sommeil.
À mesure que l’évolution poursuivait son cours, la perception des objets extérieurs devint de plus en plus nette, tandis que celle des réalités spirituelles s’affaiblissait. L’homme entra ainsi dans une ère où ses sens physiques prirent le pas sur son ancienne clairvoyance naturelle.
🔸 Perception par les Atlantes des influences spirituelles de toute nature
Dans les premiers temps de l’époque atlantéenne, le corps de l’homme était encore mou et malléable, semblable à celui des organismes gélatineux vivant dans l’eau. Cependant, au fil des âges, il se densifia, marquant une étape essentielle de l’évolution terrestre.
Toutefois, cette plasticité originelle laissait l’homme particulièrement exposé aux diverses influences spirituelles qui imprégnaient son environnement. Il était ainsi sous l’emprise des êtres divins qui habitaient le Soleil ou qui résidaient sur les différentes planètes du système solaire.
Mais il était également soumis à l’action des esprits lucifériens, ces entités qui agissaient directement sur son corps astral. Ces forces opposées influençaient profondément le développement de la conscience humaine. Les guides spirituels du peuple atlantéen devaient, dans leur propre corps astral, combattre ces influences lucifériennes, car celles-ci tentaient d’altérer le développement spirituel de l’humanité.
Dans cet état de clairvoyance originelle, l’homme percevait directement l’action de ces forces spirituelles. Il savait intuitivement que son âme était soumise à un mélange d’influences bénéfiques et pernicieuses, et c’est par un travail intérieur qu’il pouvait s’orienter vers une évolution plus harmonieuse et lumineuse.
đź“– Textes bibliques correspondants
🔹 Jean 1:9 – « Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. »
🔹 Luc 11:34 – « Ton œil est la lampe de ton corps. Lorsque ton œil est en bon état, tout ton corps est aussi rempli de lumière ; mais lorsque ton œil est en mauvais état, ton corps est aussi dans les ténèbres. »
🔹 Matthieu 6:22-23 – « L'œil est la lampe du corps. Si donc ton œil est sain, tout ton corps sera rempli de lumière ; mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres ! »
